Même si la crise a touché Madagascar depuis déjà 6 ans maintenant, le domaine de l’immobilier se trouve encore en plein dynamisme.

Bon nombre de biens immobiliers en vente ou en location trouvent encore preneurs même si l’affaire se conclut relativement en fonction de la qualité du bien. Dans toute affaire d’acquisition immobilière dans la grande île, un ou plusieurs intermédiaires sont obligatoirement présents et aujourd’hui, on peut dire que le métier rapporte ou du moins suffit à faire vivre.

Des intermédiaires indispensables
Pour acquérir un bien immobilier ou en faire la location, le client peut avoir recours à différents types d’intermédiaires : des agences professionnelles mais également des particuliers qui travaillent dans des réseaux plus ou moins fermés. Dans le cas des propriétaires de biens à vendre ou à louer, leur préférence est le plus souvent dirigée vers des intermédiaires particuliers qui leur permettent de trouver des acheteurs beaucoup plus vite grâce à un réseau bien fourni. Ce type de professionnel peut leur coûter également moins cher par rapport à des services d’une agence immobilière.

Quoi qu’il en soit, le système de rémunération de ces professionnels de l’immobilier fonctionne par commissions. Elles sont variables d’une affaire à une autre mais peuvent se trouver entre 50 et 100% du prix du bien en vente.

Dans le cas d’une location, le nouveau locataire doit payer un mois de loyer en s’installant dans sa nouvelle demeure, loyer qui pourra s’accompagner d’une caution définie par eux deux, locataire et propriétaire.